Destash
Publié le 19 Novembre 2020
La pluie + le confinement, ça vous laisse du temps, tout ça !
Le temps de me mettre à une tâche fastidieuse : trier mes laines (mais pas que... il y aura aussi les tissus, les vêtements, les chaussures... ) et destocker !
Je suis une acheteuse (un peu ?) compulsive - mais je me soigne. Ceci dit, le traitement n'est pas efficace à 100 % du temps, je fais parfois des rechutes. Mais là, ce n'est plus possible, mes placards débordent et surtout, je ne sais même plus où j'ai rangé des laines dont j'ai gardé un souvenir - et surtout une trace sur Ravelry qui est ma mémoire de tricot !
Je viens donc de passer une journée à couvrir le sol de mon atelier de pelotes, à choisir quels seront mes renoncements et à placer des annonces sur le site Maille space. Elles devraient y être visibles dès demain, au cas où vous voudriez aller y faire un petit tour !
Voici un aperçu de ce que je propose à prix doux :
A voir sur Maille space
Et je suis moulue - bien plus que quand je vais marcher dans le coin ! Passer du 4 pattes à la station debout puis à la position assise, c'est mortel.
Et le pire, c'est qu'il ne semble pas que mes réserves aient fondu ! Pourtant, j'ai éliminé un carton de pelotes à donner en recyclerie, et j'ai coincé, entre le mur et la bibliothèque dans la chambre de Fils cadet, une pile de 1 m de haut de paquets de pelotes à vendre . Cette pile est masquée par la porte mais puisse Grand Chéri ne rien voir : je subodore qu'il râlerait, car je squatte déjà la chambre de Fils aîné avec mon matos de bijouterie et mes réserves de fournitures pour DIY. Laine et tissus sont censés ne pas déborder de mon atelier...
Je dois avoir tapi au fond de mon inconscient le souvenir traumatisant de disettes et privations ancestrales...